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samedi 25 juillet 2015

Sachons remercier les automobilistes prudents envers nous

Bonjour tout le monde,


Cela fait un ptit bout de temps que je suis préoccupé par nos relations de plus en plus tendues entre les automobilistes et nous. De malheureux accidents de la route entre cyclistes et automobilistes semblent arriver plus fréquemment, certains médias ont pris plaisir à nous critiquer au point que certains conducteurs sont allés de déclarations haineuses à notre endroit. Encore tout récemment, les réseaux sociaux rapportaient des propos d’automobilistes à notre égard qui pouvaient donner des frissons. Il faut toutefois dire qu’il y a des cyclistes parmi nous, qui ne se conduisent pas très éloquemment non plus.

On ne recommencera pas ce débat là ici. Ce n’est pas le but de mon billet. De toute façon, tout a été pas mal dit et chacune des deux parties sait pas mal ce qu’il a à faire. Bien presque, parce qu j'ai une suggestion à vous faire

Je me suis quand même posé la question suivante : comment sortir de ce cercle vicieux, d’être constamment critique et négatif envers l’autre partie? Que souhaitons-nous, nous les cyclistes? Rouler en toute sécurité en sensibilisant les automobilistes à nous donner de l’espace, n’est-ce pas? Or, depuis quelques semaines et encore ces derniers jours depuis l’incident d’Isabelle Richer et de la dame du Saguenay, j’ai cru constater une amélioration de la conduite des automobilistes envers nous. Vous ne trouvez pas? Bien honnêtement, aujourd’hui, sur 120 kilos avec mon club, les automobilistes nous ont vraiment dépassés dans la voie de dépassement et plus est, tous les pickups qui ordinairement, me font chier royalement, se sont comportés avec classe. 

Dans les circonstances, je me suis efforcé, lorsque j’étais le meneur de mon peloton, de leur signifier ma reconnaissance au moment qu’ils devaient regarder dans leur rétroviseur pour se ranger. 





















Écoutez, nous sommes tous automobilistes et vous savez tous que lorsque vous dépassez quelqu’un, vous vous devez de regarder dans votre rétroviseur pour vous ranger.  Alors, pourquoi ne pas en profiter pour remercier ces automobilistes? Et vous savez quoi? Depuis que je fais cela, certains lèvent la main dans leur voiture pour me dire  « De rien »! Et vous savez quoi?  En faisant cela à la première voiture qui me dépasse convenablement, les autres d’en arrière le constatent, et agissent de la même façon. Je me suis alors aperçu que tout le trafic, comme un peloton de vélos, suit la même ligne. Parfois, lorsque je me fais frôler, je fais le même geste, mais la main ouverte vers le haut en haussant le tronc et les épaules. Vous savez, comme lorsqu’on veut dire à quelqu’un, "mais pourquoi donc!!??". Pas de doigts d’honneur, mais tout simplement un geste qui indique à l’automobiliste qu’il ne s’est pas conduit convenablement. Encore là, je me suis aperçu qu’en faisant cela à un automobiliste fautif, que le suivant qui suivait d’un peu plus loin, s’étant aperçu de la scène, a compris ce qui s’était passé, et m’a dépassé largement. Yessss!

Je sais qu’il y en a plusieurs d’entre vous qui le faites déjà et aurez tendance à me dire « ahhhh Bob, c’est peine perdue ». Bien, je ne suis pas d’accord. Imaginez si on créait un BUZZ, qu’on se mettait tous à faire cela convenablement? Vous ne croyez pas que cela se parlerait? Moi j’en suis sûr. Cela viendrait aux oreilles des automobilistes non cyclistes qu’on qualifie souvent d’insouciants, et je suis à peu près certain qu’ils s’efforceraient d’observer si les cyclistes qu’ils croisent ont su reconnaître leur geste de courtoisie! Wowww. On vivrait maintenant complètement dans une autre dynamique. On se demanderait maintenant qui est le plus poli, voire gentil. Les gens prendraient maintenant plaisir à être courtois parce que les cyclistes et automobilistes fonctionneraient avec le même code de conduite. Toi cycliste, roule convenablement en bordure de la route et moi je m’efforcerai de te dépasser avec prudence. Ce qu’il nous reste à faire nous, c’est de dire merci! Voilà! La communication est établie et le tour est joué. Je suis convaincu qu’on pourrait retourner la situation de bord, si nous nous y mettions tous. Qu’en dites-vous?

En tout cas, moi je continue d’agir de la sorte….

P.S. Évidemment, ce n'est pas tout. Il faut faire ses arrêtes stop et ses feux rouges :-)


Coach BOB la gazelle!
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Aussi un rouleur!
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vendredi 24 juillet 2015

Position de la selle


Bonjour à tous,

Je suis revenu de vacances cette semaine au cas que vous ne le sachiez pas. Je suis allé en Caroline du Nord à Cape Hatteras faire de la plage avec ma famille. J’ai tout de même apporté mon vélo, mais je n’en ai pas fait beaucoup. Il faisait vraiment trop chaud (entre 35 et 40 C), et cela, même le matin en partant vers 7 h 30. Pourquoi ne pas partir plus tôt? Eh! Cela va faire! Je suis en vacances quand même :-) je me lève à l’année à 6 h!


Avant de vous parler de la position de ma selle pour améliorer quelque peu ma poussée et mes performances, je voudrais juste vous informer des précautions d’entretien de votre vélo lorsque vous allez sur le bord de la mer comme je viens de le faire. S’il vous est possible de remiser votre vélo à l’intérieur aussitôt votre ride terminée, faites-le! Nous avions un bel espace à l’extérieur sous la maison à pilotis pour les ranger, ce que nous avons fait les premières journées. Oufff le vent, le sel dans l’air, les poussières de sable ont fait de nos vélos des vraies statues de sel! Les bases de rayon oxydées, les freins poignés dans l’humidité et j’en passe. Il a donc fallu faire le grand ménage à la grande eau et au savon pour les remiser le reste du voyage à l’intérieur. Donc, avis à ceux qui prévoient aller sur le bord de la mer.

Bon!  La position de ma selle maintenant. Vous savez comment je suis orgueilleux et fier de mes performances hein? J’en ai-tu écrit des billets où je pouvais m’être montré plus fin ou plus en forme que certains cyclistes que je pouvais croiser! Et je m’en fais toujours une plus grande fierté parce que je vieillis et que je lutte fort contre cette réalité qui m’obsède lolll. Et bien, imaginez-vous que je me suis fait déposer, comme on dit, à une couple de reprises, il y a quelques semaines, par une couple de tempes grises avant de partir de vacances. Cela m’a fait chier pas mal! Étais-je dans une mauvaise journée? Étais-je fatigué de ma sortie d’avant? Avais-je bien mangé le matin ou le midi? Est-ce que je revenais de chez mon Psy? Ma blonde m’avait-elle mis la batterie à terre le matin même? Bien, rien de tout cela! J’aurais bien aimé vous trouver une raison comme font les cyclistes ordinairement, les prétextes des défaillances des cyclistes sont ma foi pires que les histoires de pêche, mais je n’en ai pas trouvé!



Or, je me suis remis à me questionner sur toutes sortes de petits détails comme notre position sur le vélo. J’ai donc procédé à deux petits ajustements que j’avais délaissés en raison de mon âge et du type de cyclisme que je pratique aujourd’hui. Vous savez,  à 60 ans on va souvent, par exemple, relever la hauteur de notre guidon pour ne plus être courbé vers l’avant ou encore pour éviter de trop forcer du dos plus fragile maintenant en tirant assis lors des montées. 


Comme vous pouvez vous en douter, je suis revenu à une position légèrement plus basse de mon guidon. Pas aussi basse que lorsque je courais, mais quand même plus que bien des gars et filles de mon âge. Évidemment, lorsqu’on abaisse son guidon de la sorte pour avoir une position plus aérodynamique, c’est-à-dire d’avoir le tronc, le haut du corps plus à l’horizontale sur le vélo, on peut avoir le siège pour ne pas dire le « cul » qui veuille bouger ou glisser vers l’avant de la selle lorsqu’on tire fortement dans les arches des drops en moulinant sur le gros braquet! Normal. Quand on est un poids plume dans mon genre, qu’on veuille pousser les manivelles sur une résistance développant de la puissance supérieure à son poids, bien c’est le derrière sur la selle qui doit rester immobile pour tout bloquer. Alors je suis également revenu, comme certains l’ont peut-être déjà observé, à une position de ma selle légèrement relevée du nez. Je dis revenu, parce que c’est la position que j’avais à l’époque que je courais. Pour m’assurer de ne pas glisser vers l’avant de ma selle, de maximiser ma poussée et ma tire des bras sans aucune perte d’énergie, bien on relevait le nez de notre selle de la sorte. Alors, si en voulant pousser la manivelle sur le gros braquet à midi et dix ou maximiser sur la tire à moins 20 en remontant tout en forçant des bras et du dos, il ne fallait surtout pas que le « cul » sur la selle nous abandonne en glissant vers l’avant! Alors on barrait cette glisse de la sorte! Si la force exercée est trop grande, celle-ci doit s’exercer dans le dos, sur les bras ou encore mieux, dans les muscles du fessier et des jambes. C’est là que ça doit se passer, pas ailleurs! 

Ah on a bien dit des choses sur cette position. Il y a toutes sortes de légendes urbaines. Que cela crée une pression indue sur les « Schnolls », que cela rend stérile, nuit à la virilité, voyez-vous ce que je veux dire? Non? Bander je veux dire! Bien, à l’âge que je suis rendu, tant et aussi longtemps que mon affaire répond aux avances de ma blonde, la stérilité moi, je m’en fou pas mal. J’ai eu ma fille que j’adore et je n’en voudrais pas d’autres. Alors si c’est pour tuer mes spermatos, j’en suis bien aise!

C’est certain que si vous l’essayez, vous trouverez cela bizarre pour ne pas dire inconfortable. Normal, vous aurez comme l’impression de glisser par en arrière, mais attendez d’être sur une lancée sur un faux plat montant les mains sur les cocottes ou dans les drops en pleine puissance? Personnellement, sans vouloir exagérer, j’ai dû retrancher quelques secondes sur des segments de mes parcours préférés dans des conditions semblables. J’irais jusqu’à dire que j’ai gagné entre 2 et 3 % en puissance. Pas beaucoup? Bien c’est l’équivalent d’une bonne dose d’EPO. Alors cela me convient.

Je ne sais pas si les coureurs adoptent encore cette position. Je ne fraye plus dans ce milieu, mais si vous êtes un cycliste compétitif qui est sur le bord de faire une dépress comme moi je m’apprêtais à faire, alors pourquoi ne pas l’essayer? Vous m’en redonnerez des nouvelles.

Bonne journée,

Coach BOB la gazelle!
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jeudi 9 juillet 2015

Marc Blouin, encadreur bénévole

Marc Blouin, Montréal 1976
Vous le reconnaissez? Pas évident n’est-ce pas? Avouez que si je n’avais pas mentionné son nom dans le titre de mon papier d’aujourd’hui, vous ne l’auriez jamais deviné. Eh oui il s’agit de notre ami Marc Blouin, membre du Regroupement d’affaires à Vélo de Québec (RAV) qui, sur cette photo, porte la moustache « handlebar » rappelant la forme de son guidon aux Olympiques de Montréal en 1976. J’ai trouvé cette photo ainsi que d’autres sur le site Véloptimum qui fait une courte bibliographie de notre homme. Je suis d’ailleurs à peu près certain qu’il va m’en vouloir d’avoir tout sorti cela sur mon blogue aujourd’hui. Pour ceux qui le connaissent bien, Marc n’est pas du genre égocentrique, me myseft and I, qui va se péter les bretelles de ses réalisations passées. Très modeste notre Marc.  Même que si quelqu’un voulait rouspéter à ses directives, il ne sera jamais condescendant en disant des choses du genre « Écoute jeune homme, ça s’adonne que moi j’ai fait cela et ceci et tout le tralala » pour lui faire prendre son trou comme moi je dirais

Alors hier, c’était notre 3e sortie de la saison avec le RAV et nous étions comme 11 assez bons cyclistes à prendre le départ sous sa supervision pour un 85 kilos avec un assez bon vent de l’ouest (groupe 32km/h). Assez fort pour l’inquiéter et nous dire qu’en raison des conditions d’aujourd’hui, que les relais se feront par roulement autant de l’intérieur que de l’extérieur selon la venue du vent ou des conditions de l’accotement. Bon! Enfin quelqu’un qui comprend les vraies affaires pour les relais en tout cas. Pour ce qui est de faire la roue pour les relais, plusieurs d’entre nous l’avaient déjà fait avec des copains, je présume, ou en petit groupe restreint, mais personne ne l’avait certainement fait sous la supervision et les instructions de Marc! Beaucoup de petits correctifs à apporter lol! Encore là, Marc n’est pas du genre à crier après personne, sauf que lorsqu’il parle fort et donne ses instructions, sa voix porte! Puis, il n’y a qu’un chef dans le peloton. Quelqu’un a voulu suggérer une façon de faire sur la piste cyclable et après réflexion Marc a dit « non! Ça va bien de même, les gars sont disciplinés, on continue de même! » Le sujet est clos.

La plupart du temps avec de forts vents et à plusieurs comme nous étions, il n’est pas toujours facile d’atteindre notre vitesse moyenne, même si le terrain était peu accidenté comme hier (475 M); attente de retardés, ravitaillement, crevaisons, etc.

Cependant, nous étions tous très disposés à apprendre de Marc et pour travailler sur cette constance qu’il fallait avoir pour maintenir une vitesse constante tout en ne prenant le devant, que le temps du dépassement de la personne qui nous donnait le relais. C’est ce qui s’est avéré le plus difficile à « catcher » pour plusieurs, entre autres moi-même. Trop lent, trop vite, trop tôt, trop tard, trop large, etc. On a dû travailler sur la fluidité pendant les 2h30 de la ride. Toujours est-il que si j’exclus la crevaison de Réjean, qui m’a envoyé une roche grosse comme une balle de golf à 2 pc des oreilles et le ravitaillement, on a terminé notre sortie avec une vitesse moyenne de 33,4km/h. Dans les circonstances, je considère que c’est mission accomplie et que nous n’aurions sans doute pas fait meilleure moyenne avec des relais traditionnels. Cependant, et je suis assez certain que tout le monde en conviendra, d’ailleurs j’en ai discuté avec quelques gars après la ride, cette technique de relais m’a tiré du jus considérablement. Faire la roue à 8 ou 10 cyclistes en formation 2 X 2, les relais viennent vite et ils se font vites, ce qui m’a forcé à élever d’un cran mon niveau de concentration, et cela a paru sur le vélo, et cela se ressentait également dans le peloton. 

Ce fut une excellente sortie, formatrice, mais qui doit être faite avec discipline par des cyclistes aguerris.

Nous sommes choyés d’avoir un gars de sa trempe dans notre club pour nous encadrer. Il faut en être conscient. Il n’y pas beaucoup de cyclistes dans les clubs de vélo au Québec qui peuvent profiter d’un tel accompagnement. Nous avons été des privilégiés hier.

Merci Marc de tes précieux conseils! J’ai hâte d’en « runner » un gang à mon tour HI HI HI HI!


Vous ne savez pas comment çà marche faire la roue pour les relais. Je vous propose cette petite vidéo que j'ai déjà mise sur mon site pour décrire ce que c'est (Tour de Cali 2007). C'est exactement comme cela que nous roulions hier.

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mardi 7 juillet 2015

Les lacs Archambault et Ouareau (Lanaudière) à vélo

On s’enorgueillit souvent de nos parcours dans la région de Québec, moi le premier. J’ai souvent fait l’apothéose des Équerres et du tour du lac Saint-Joseph et de quelques autres circuits dans la région de Portneuf tout près. Récemment, je suis retourné faire le Parc de la Mauricie qui n’a pas besoin de présentation. Un circuit de plus de 115 kilos qui ne donnent aucun répit sur plus de 2 000M. C’est un must, bien sûr.


Michel et moi il y a cela
plusieurs années :-)
Mais bon, je suis allé voir en fin de semaine mon chum Michel Turner de Repentigny qui a un chalet au lac Beauchamp dans Lanaudière. Pour les gens qui connaissent un peu plus la région, c’est un beau petit lac situé à St-Donat de Montcalm entre le grand lac Archambault plus à l’Ouest et le lac Ouareau à l’Est. Soit dit en passant, le village de St-Donat vient de se classer la 2e ville la plus plein-air au Québec selon un concours mené par le magasine Géo Plein air. Cela a donc été l’occasion pour moi de refaire le Chemin du Nordet qui commence à être drôlement connu (le tracé sur ce lien est partiel. Ordinairement, les gens partent ou arrivent à l'entrée du lac Supérieur). Je dirais que depuis que le journal La Presse en a fait un article en 2013  qu’on y tient la cyclosportive St-Donat/le Nordetqu’Infovélo.com en a fait un de ses parcours, sans oublier tous les athlètes de triathlon qui se sont découverts dans les Laurentides avec la tenue de l’Ironman Tremblant, le chemin du Nordet est devenu comme une autoroute de cyclistes. Je n’y avais jamais vu autant de cyclistes de ma vie en fin de semaine. C’est définitivement un autre parcours à faire au Québec. Pas surprenant qu’il y ait tant de monde.

Mais comme il faisait super beau en fin de semaine et que nous voulions profiter du lac, j’avais demandé à Michel un parcours pas trop long pour que nous puissions profiter de sa plage et des équipements nautiques qu’il a chez lui. Au Programme, les tours du lac Archambault et du lac Ouareau. Wowwww!!! « Mais comment se fait-il Michel que tu ne m’aies jamais fait faire ce parcours avant bonyenne!!! Bien Robert le pavé du Lac Ouareau a été refait à neuf depuis 2 ans seulement, puis cela n’a pas adonné!!! » 735M de dénivelés sur 60 kilomètres de bonheur et je n’exagère pas, mais pas pantoute. Quelques côtes abruptes ici et là pouvant atteindre 18 à 19 degrés du côté du Lac Archambault et des centaines de virages en montées et descentes voilées dans une nature de grande beauté. Un fichu de beau coin, c’est moi qui vous le dis! La circulation y est civilisée, il y a plusieurs affiches sur tous les parcours « Partageons la route  avec les cyclistes » et ces derniers marchent à la file indienne en essayant de ne pas trop créer d’embouteillage. De toute manière, il y a tellement de descentes voilées cachées par les arbres qui surplombent la route, qu’il est nettement préférable de ne pas en prendre trop large.

Alors, tenez-vous-le pour dit. Le chemin du Nordet est une chose, mais le tour de ces deux lacs en est une autre. Vous n'avez qu'à vous donner rendez-vous au parc des pionniers à St-Donat et profiter des café terrasses après votre randonnée. Michel m’avait demandé de ne pas trop en parler, mais c’était bien difficile de ne pas le faire.

Une précision qui vient de m'être signifié par les intervenants du milieu à Sain-Donat pour le sens de faire le tour des lacs
 
Le Vélo Club San Donato recommande de faire le tour des Lacs Ouareau et Archambault dans le sens antihoraire de manière à éviter les quelques 1500 entrées/sorties des nombreux chalets sur le bord desdits lacs et aussi pour avoir le vent «grand largue» en descendant la 125  (vent ouest-nord-ouest à 80%)jusqu'au Chemin St-Guillaume.
 
Raymond M. SIGOUIN pour VELO CLUB  SAN DONATO
 
P.S.:  Nous avons une super belle carte des circuits cyclistes au Bureau d'information touristique

Classique Jean-Yves Labonté

Mon Dieu que j’aurais aimé y être présent pour faire le tour symbolique des anciens coureurs et pour serrer la pince à Jean-Yves, mais malheureusement je serai à l’extérieur de Québec lors de cette journée. Cela m’aurait fait plaisir de rouler avec les anciens coureurs de l’époque alors que nous animions ses courses du mardi et les grandes classiques qu’il organisait les fins de semaine

Passez une belle journée


Coach BOB la gazelle!
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